• Cette année projet Clément aplati et projet Rallye des acrtes postales, nous allons avoir besoin d'écrire des adresses.

    Voici deux petites fiches pour s'entraîner à ....

    Et des fiches sur la carte posatle c'est là

    http://lecoledepetiteprune.eklablog.com/ecrire-une-carte-postale-ce1-a13995911


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    POur la semaine du goût nous allons travailler sur le projet suivant : Du grain au pain. La finalité de ce projet est de fabriquer du pain et de le faire déguster.

    Voici pour commencer la progression prévue sur l'étude de texte prescriptif : la recette ( niveau palier 2 du socle commun)


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    La dictée OUI ...mais ...

    Je ne fais pas de la dictée de manière conventionnelle!

    1. La dictée de la semaine

    Elle est mise en place sous forme de rituel chaque jour de la semaine.

    Elle fait travailler l'orthographe, la mémoire et l'ORL.

    Un exemple:

    Lundi je propose le prénom Noémie ( c'est un nom propre, on s'entraîne à l'écrire sur l'ardoise)

    Mardi je continue : Noémie marche ( marche c'est une action, un verbe, on cherche l'infinitif, c'est un verbe du premier groupe, on s'entraîne sur l'ardoise)

    Jeudi la suite : Noèmie marche sur le chemin ( Complément de lieu et on s'entraîne à écrire)

    Vendredi la fin : Noémie marche sur le chemin sinueux ( Ah c'est un mot compliqué, ça veut dire quoi, on ne le connait pas on l'inscrit dans le répertoire, c'est un adjectif qualificatif et on s'entraîne à écrire la phrase entière)

    Le lundi suivant : Dictée de la phrase et succès

    Au fur et à mesure le rituel peut s'enrichir, ce sont les élèves qui trouvent les phrases !!

      

    2. La dictée de mots

    Jusqu'alors je me servais de l'échelle de Dubois Buyse mais j'ai découvert cet été ce livre. Plus récent 2010.

     

    Descriptif du produit :

     Auteur : F. Ribano
    Copyright
    : éditions l'oiseaulire

    Date d'édition : 01/2010

    Contenu et caractéristiques
    • Le livret flo 600 : 36 pages, format A5
    • Le petit code facilecture : format A4
    • Un livret d’accompagnement pour les parents : 6 pages, format A5
    • Un CD-Rom PC proposant :
    · un guide d'accompagnement pour le professionnel
    · les 600 mots en noir format PDF

    Un outil de la collection facilecture

    Avec le codage visuel en couleurs facilecture, l’enfant « voit les sons » dans les mots et peut ainsi observer avec quels graphèmes (lettres ou groupe de lettres) ils s’écrivent. Grâce à ces indices visuels, les facultés d’analyse de l’enfant sont sollicitées et activées de manière consciente et pertinente, facilitant la maîtrise de la lecture et l’acquisition de l’orthographe lexicale et grammaticale.

    3. Le mot du jour

    Nous avons un chevalet des Incollables avec le mot du jour. Nous l'expliquons et l'écrivons dans notre répertoire.

    Au bout de quelques semaines : dictée de mots.

      

    Noter ou pas la dictée?

    La dictée est très souvent associée à une note pour les élèves. En plus, mes jeuens d'IMPRO ont besoin à un moment donné du rapport à la norme. La note est donc un bon moyen de s'y référer.

    Sauf que la note en dictée peut être synonyme d'échec. On a tous entendu les fameux 0 ( si c'est pas des moins quelque chose).

    Or le but n'est pas d'enfoncer les élèves mais de faire que la note redonne confiance en soi.

    J'ai donc trouvé la parade : un point pour un mot bien orthographié et pas un point de moins pour un mot mal écrit.

    La dictée leur redonne donc le sourire et ils progressent.

    Matériel:

    Le répertoire reste pour moi le meilleur moyen d'inscrire les mots et leur définition.

    On s'entraîne sur l'ardoise

    La dictée a lieu sur le cahier du jour.

      

    Cette année avec un élève dysléxique et uen autre ayant de gros troubles du langage écrit, les dictées sont diffciles à mettre en place. Même en rvisant ms élèves ne s'en sortent pas.

    Alors voici une fiche d'orthographe. Les élèves doivent colorier le bon mot sur 3 mots proposés. C'est une aide vraiment efficace car les jeunes doivent faire appel à leur logique pour trouver la réponse.

    Télécharger la fiche


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  • Un diaporama très bien fait sur comment s'y prendre de J. Giasson.

    Soyez patient pendant le téléchargement ...ç vaut le coup

    Mon support indispensable

     

    Lector et Lectrix est un livre "clés en main" contenant 7 séquences.

    Il s'appuie beaucoup sur des passages du roman de Mourlevat.

     

    Voici la présentation de Goigoux:


     

    Pour enseigner « autrement » la compréhension, il faut commencer par définir les compétences

     

    spécifiques qu’elle requiert. Nous proposons de regrouper celles-ci en cinq ensembles, facilement

     

    identifiables par les professeurs :

     

    – des compétences de décodage (automatisation des procédures d’identification des mots

     

    écrits) ;

     

    – des compétences linguistiques (syntaxe et lexique) ;

     

    – des compétences textuelles (genre textuel, énonciation, ponctuation, cohésion : anaphores,

     

    connecteurs, etc.) ;

     

    – des compétences référentielles (connaissances « sur le monde », connaissances encyclopédiques

     

    sur les univers des textes) ;

     

    – des compétences stratégiques (régulation, contrôle et évaluation, par l’élève, de son activité

     

    de lecture).

     

    S’il veut comprendre un texte, le lecteur doit mobiliser simultanément toutes ces compétences

     

    pour opérer deux grands types de traitements : des traitements locaux – qui lui permettent d’accéder

     

    à la signification des groupes de mots et des phrases – et des traitements plus globaux qui l’amènent

     

    à construire une représentation mentale cohérente de l’ensemble. De ces traitements dépendent le

     

    tri des informations principales et leur organisation progressive en mémoire à long terme.

     

    Ce dernier processus, appelé intégration sémantique, est cyclique : chaque ensemble d’informations

     

    nouvelles oblige le lecteur à réorganiser la représentation qu’il construit pas à pas, au fur

     

    et à mesure qu’il avance dans le texte. Cela suppose qu’il soit suffisamment flexible pour accepter

     

    que ses premières représentations soient provisoires et donc révisables ; bref qu’il conserve son

     

    interprétation ouverte et attende d’avoir traité toutes les données textuelles pour établir une compréhension

     

    définitive. Cela suppose aussi qu’il évalue régulièrement sa compréhension et cherche à

     

    remédier aux difficultés qu’il détecte. Son échec cognitif provisoire (lorsqu’il ne comprend pas ce

     

    qu’il vient de lire) peut être compensé par une habileté métacognitive : conscient du problème que

     

    le texte lui pose, il peut engager des activités stratégiques pour le résoudre (revenir en arrière pour

     

    relire une partie et sélectionner les informations importantes, reformuler un passage, chercher à

     

    surmonter une incohérence, construire des synthèses intermédiaires, accorder plus d’attention aux

     

    parties qui lui semblent ardues, etc.).

     

    Cette analyse des exigences de la lecture sous-tend notre instrumentation. Dans la mesure où

     

    nous avons pour objectif d’infléchir les pratiques existantes, nous avons privilégié les compétences

     

    qui nous paraissent être les plus fragiles chez les élèves et les moins bien enseignées par leurs

     

    professeurs. C’est pourquoi, parmi les cinq ensembles rappelés ci-dessus, nous avons choisi le

     

    cinquième (les compétences stratégiques) comme fil conducteur de l’intervention. Concrètement,

     

    il s’agit d’enseigner aux élèves les procédures utiles et de leur apprendre à les réguler au cours de

     

    leur lecture. Il s’agit aussi de les aider à contrôler puis à évaluer leur compréhension. Les activités

     

    que nous proposons favorisent secondairement le développement des quatre autres ensembles

     

    de compétences. Reconnaissons donc que nos objectifs ne sont pas aussi poussés dans tous les

     

    domaines. Bien que nous sachions, par exemple, qu’une partie des élèves de dix ans a encore des

     

    difficultés de déchiffrage, celles-ci ne constituent pas notre cible prioritaire. Nous comptons cependant

     

    sur l’intensité et la quantité des activités de lecture proposées pour consolider l’automatisation

     

    de la reconnaissance des mots, « base de l’acte de lecture » 

     

     


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